L’électromagnétisme fait partie des quatre grandes forces de l’univers avec, la force gravitationnelle, la force nucléaire faible et la force nucléaire forte.
Il se compose de champs électriques et magnétiques souvent appelés « CEM ».
En moins de 50 ans, l’environnement électromagnétique couvre aujourd’hui l’ensemble de la planète de ses rayonnements, tant à l’extérieur, qu’à l’intérieur de nos habitations et entreprises.
Le développement des techniques en matière de CEM a contribué à un accroissement prodigieux des échanges de communications, du développement des technologies et de la sécurité.
S’il est inenvisageable aujourd’hui de se soustraire à cette évolution qui contribue à nos enjeux de société, il vaut toutefois de réfléchir et d’agir quant aux effets secondaires possibles, devant la multiplication exponentielle des diverses émissions de CEM, et particulièrement quant à leurs interactions…sur le vivant.
Accroissement exponentiel des émissions de CEM
Au-delà des critères fixant les limites d’exposition aux différents champs et ondes électromagnétiques en fonction de leurs seuls effets thermiques, des équipes de chercheurs ont élaboré un nouvel indicateur, le « Potentiel EMI ».
Le Potentiel EMI (µW/m²) permet la quantification et la modélisation en 3D des interférences électromagnétiques dits « effets de tornades » ou encore « hot-spot », ou « points chauds », ou encore « smog-électromagnétique », véritables sources de perturbations au niveau biologique.
Exemple de modélisation de points chauds
Schéma de principe d'un Smartphone et des ses différents modules émissifs
(*) Documents en préparation
« Comme nous n'avons pas encore systématiquement testé les effets sur des tableaux cliniques spécifiques, nous ne pouvons conserver que les domaines fonctionnels de l'activité cérébrale, du système cardiovasculaire et du tonus musculaire en général comme indiqué ci-dessus.
Des paramètres EEG (Électroencéphalogramme) sont disponibles pour l'activité cérébrale, des paramètres de variabilité de la fréquence cardiaque basés sur le temps et la fréquence ont été testés pour le système cardiovasculaire et des paramètres d'électromyographie pour le tonus musculaire.
Ces données de mesure sont suffisantes pour faire les déclarations ci-dessus.
Sur la base des études publiées et de la vaste série de tests disponibles, les déclarations suivantes peuvent être faites sur l'effet de la technologie Gabriel :
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